Le Tribunal fédéral a rejeté une demande d’effet suspensif pour l’entrée en vigueur de la nouvelle loi fribourgeoise sur les agglomérations, qui implique officiellement l'abolition du statut d'agglomération institutionnelle.
Le processus qui mène au vote consultatif du 26 septembre sur la constitution du Grand Fribourg reprend sur le terrain. Le "Journal de la fusion" est distribué ces jours à 42'000 exemplaires, décliné en neuf éditions, une par commune.
La dissolution de l'Agglomération de Fribourg, décidée par le Grand Conseil en août dernier, est contestée au Tribunal fédéral par les communes de Villars-sur-Glâne, Avry, Belfaux, Givisiez, Granges-Paccot et Matran.
Le Tribunal fédéral a donné raison au Tribunal cantonal et rejeté les recours de l’Etat de Fribourg et de la commune d’Avry. A l’origine du litige : la révision du plan d’aménagement local de la commune sarinoise qui incluait le projet commercial et immobilier de la Migros. Mais plus de soixante communes du canton sont concernées par la procédure.
Le Tribunal fédéral (TF) confirme la décision prise en septembre 2019 par le Tribunal cantonal suite à un recours d’un citoyen d’Avry: il doit examiner les plans d'aménagements locaux sous l'angle du nouveau directeur, et non de l'ancien.
C’est une petite révolution. Le Grand Conseil a accepté vendredi matin d’abolir le statut d’agglomération institutionnelle. L’Agglo de Fribourg devra donc être transformée en une association de communes.
Une jeune fille de 17 ans a été interpellée dans la nuit du 1er au 2 août à proximité de la route reliant Avry à Villars-sur-Glâne. Avec des complices, elle est soupçonnée d'avoir endommagé au moins deux véhicules qui passaient par là.