Exposition: Vers l’infini et au-delà à l'EPFL
Avec Cosmos Archeology, on prend un bain de planètes et on observe le ballet infernal des débris spatiaux
Isabelle Carceles
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EPFL » Agir comme «amplificateur pour l’art, la science et la société», c’est le projet que portent les EPFL Pavilions. Autrement dit, c’est à la croisée de multiples chemins que se tiennent les expositions qui y sont montées par le Laboratoire de muséologie expérimentale (eM+), dirigé par la professeure Sarah Kenderdine. Les technologies numériques de pointe s’y taillent la part du lion, bien sûr.
L’exposition en cours porte un titre intrigant, Cosmos Archeology, bon résumé de l’ambiance générale. Car le cosmos, c’est à la fois un monde vertigineux, synonyme d’avancées technologiques foudroyantes, d’enjeux futuristes gigantesques; et un passé dont on capte les lumières, comme autant de civilisations lointaines, éteintes – mais qui continuent de briller.
Vals